mercredi 30 novembre 2011

Mon amante reprend la pillule (pour ne pas tomber enceinte de moi)

Quand une relation d'amour se construit, ou quand on ne veut pas faire l'amour sous plastique, un couple d'amant en vient à se passer du préservatif.

Je ne sais plus combien de fois j'ai eu à faire un test sous un faux nom, voir le médecin sortir de son bureau et débarquer pour tenter de me soustraire mon vrai nom, le nom de mon médecin traitant ... et prouver que je suis négatif de passagers clandestins dans mes fluides ...

Mais, un jour, puis plusieurs fois, j'ai eu à affronter un nouveau défi : ne pas avoir d'enfant de mon amante.

La majorité de mes amantes géraient ce sujet sans vraiment le partager, et j'ai eu la faiblesse de l'oublier parfois, de ne pas entrer dans cette intimité aussi, ou encore de me comporter comme un gougeât immature à d'autres moments.

Pour certaines, celles dont la relation a survécu à un hiver, voire plusieurs années, le besoin ou l'occasion de se rejoindre sur ces discussions ont permis de partager. J'ai souvent précédé en sortant de ma poche une pilule du lendemain (achetée la veille !) pour tenter d'effacer les éventuelles traces encore invisibles de nos ébats. Fertiles mais pas féconds.

Il a fallu aussi ruser pour esquiver les cycles, jouer avec les jours carmins, abuser de jeux de bouche, ou de douche ... froide.

Mais quand on cherche l'érotisation d'un fantasme à vivre pleinement, ou quand on est amoureux, on cherche la fusion des âmes et des corps ... Attendre que la pilule puisse être de nouveau installée pour jouir pleinement à deux, sans retenue, et qu'une union puisse être fusion, échange et don, jusqu'au bout des élixirs d'amour.

vendredi 25 novembre 2011

Mon amante est enceinte (de son mari)

Il est des attirances qui se tiennent à distance dans ce monde convenu, et tombent en vertiges magnétiques sous influence de forces invisibles qui nous sont externes. Une de ces forces est hormonale, et j'ai pu, à de nombreuses reprises, jauger combien ce moteur est source de certaines motivations, exaltations voire emballements. A regarder en arrière le chemin parcouru, chacun ne peut que constater combien il n'a fait que subir, être un instrument ou une ingénue victime d'un besoin, d'une pulsion, d'un fantasme, d'un tourbillon d'énergie qui ne pouvait avoir lieu que ici et maintenant ...

Comme toujours, lorsque je me fais courtiser, c'est par une femme pour qui j'ai une attirance contenue, une pincée d'admiration bercée de doux mystères. Elle m'a abordé de manière assez directe. Une proximité qui nous a mis en situation de tête à tête qui n'avais jamais eu lieu, et un allié sournois, ses hormones, et peut être, l'influence sur moi de son aplomb qui perspirait de son corps.

Elle était d'un délice redoutable, voire effroyable. Je n'avais jamais été la proie d'une femelle dont l'ardeur sexuelle révélée était telle. Son corps tendu tout entier jouissait de moi, et ses mots torrides baignaient la pièce d'une torpeur toute particulière. A la manière de "L'amant", la clameur de la ville montait vers nous sans nous habiter, nos envies transcendaient notre fatigue au delà de ce que la raison pouvait tolérer.

Ce n'est qu'au bout d'un mois d'ébats plus pulsionnels les uns que les autres, plus chauds que ce que mes mots peuvent transcrire, qu'elle m'a lâché :
- Je tombe toujours enceinte trop vite !

Ce corps sublime était enceinte d'un cycle, et j'ai eu en offrande les seins fermes et rebondis, les yeux affamés, la libido enflammé d'une femme enceinte ... de son mari !

- Tu comprends, je sortais de plusieurs années de "ceinture" avec mon époux, et quand on a enterré la hache de guerre, on a tant bien que mal retrouvé le chemin l'un vers l'autre, et je suis tombée enceinte tout de suite. Et tu es arrivé, tout était comme différent avec toi, tu rentres en moi avec tant de facilité, tu me fais jouir comme une adolescente ou comme une catin, je me sens femme dans tes yeux. Tout est allé trop vite, je suis tombée enceinte trop vite.
Dès que tu as passé la main dans mes cheveux, puis quand tu as deviné ma position préférée, j'ai su que mon corps t'avait attendu toutes ces années. Je suis tombée enceinte quelques semaines avant que tu entres en moi. Mon corps dit la même chose que mon cerveau, la première fois, j'ai eu des saignements. J'ai cru que j'avais perdu le bébé. J'ai espéré même. J'aurais aimé ne pas être enceinte ... de lui.

J'étais objet de fantasme, instrument de débauche et de dévergondage, d'une femme, mère et bientôt de nouvellement mère, qui re-découvrait un corps de femme au contact de mes lèvres. Le vertige des sens fut sublime, le brasier si puissant qu'il a tout brûlé.

9 mois plus tard, 1 mois de plus peut être, est né le fruit de ce ventre que j'ai étreint de tant de baisers. Peut être qu'il y a aussi une petite part de moi

mercredi 23 novembre 2011

Fantasme de pucelle

Cette fille m'a abordé en chat sur un sujet hyper fantasmatique, cru et direct ... l'amour dans une chambre d’hôtel, les yeux bandés, en silence, à l'endroit à l'envers, ...

Quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai découvert qu'elle avait la moitié de mon age !! Une Lycéenne, brillante, se préparant en se faisant peur à sa vie au post bac, et cherchant à se faire encore plus peur en flirtant virtuellement avec un homme plus mature.

Damned, quelle aisance dans le phrasé, quelle assurance pour entrer dans le charnel de manière si directe, si décontractée. Torpeur !! J'avais dû louper le virage de l'an 2000, le virage à l'entrée dans la trentaine, les pucelles n'étaient décidément plus timides ... comme je l'avais été à cet age.

Elle n'avait plus de fantasme, tout avait été joué et rejoué, à part un amant du double de son age. Elle voulait tenter la différence d'age et voir si les trentenaires valaient les teenagers ou si définitivement, se faire draguer sur les sites de rencontre par les vieux, "ça fait un peu peur" ...

Nous avions donc convenu d'un premier rendez vous à l'hôtel, dos à dos, les yeux fermés, à se découvrir du bout des doigts, dans un silence qui laisse le murmure du moindre souffle emplir une pièce entière.

J'ai découvert un corps sublime, digne de la page 3 d'un journal anglais, mes mains ont glissé sur ses courbes, sur les plis de ses vêtements, sous ses vêtements. J'ai découvert du bout de mes lèvres des seins fiers comme si elle était fraîchement enceinte, un nombril sensible comme si c'était la première fois qu'on jouait avec, et une orchidée d'une innocence sublime ... rien à voir avec les mots que nous avions partagés ...

... Les mots sont trompeurs ... on annonce en expérience ce qu'on fantasme ... mais certaines surprises sont plus belles que les plus beaux rêves

mercredi 9 novembre 2011

Fantasme de fruits : les raisins (3)

Jamais je n'ai pénétré une chatte aussi étonnante que la votre. Gorgée de grains de raisin, suintante de jus, baignant dans un jus collant et sucré, ces lèvres capiteuses étaient boursouflées de désir et dilatées de l'intérieur. Hypnotisé par cette soudaine grâce, j'ai essayé de figer l'instant, de capter l'image de votre corps de nymphe luisant de désir, et en son centre, de votre chatte respirant la luxure, comme prête à expulser ces raisins coquins qui ouvraient votre antre béante, offerte.

Vous teniez la pose, cuisses ouvertes, quand j'ai apposé mon gland tout contre. Nos corps poissaient l'un contre l'autre. J'ai imposé un baiser sucré à vos lèvres, saisi votre langue, et, lentement, j'ai basculé ma queue en vous, en frayant mon chemin entre les grains. Chacun de ces fruits du stupre massaient ma hampe comme mille mains visqueuses, et vos yeux écarquillés, comme révulsés, témoignaient de sensations uniques que je vous imposait en forçant encore et encore votre chatte ... Jusqu'à ce que le premier grain éclate, puis deux, trois ou quatre ... :
- Oh putain ... j'explose de l'intérieur !

J'ai réussi à conquérir cette grotte qui maintenant coulait à grand flot de jus et de pulpe à mesure que j'écrasais les raisins, que je cognais le plus profond et le plus vaillamment possible, accélérant le rythme jusqu'à la rupture, au faîte de la jouissance, orgasme hurlé à deux et délivrance par un jet de sperme en spasmes incontrôlé.

Nous avons baigné dans ce jus pendant de longues minutes, fier de notre orgie des sens et repus comme des animaux, le sourire béat, mon sexe rabougri et le votre rougi et chiffonné de délice.

Plus tard, j'ai pris un pied immense à fouiller votre antre de mes doigts pour extraire toute trace de ce délit, vous faire jouir langoureusement encore et encore, sur ce lit, puis sous la douche. Seul la literie gardait l'empreinte de ces ébats hors norme ... nous ne sommes plus jamais retourné à cet hôtel

mardi 8 novembre 2011

Fantasme de fruits : les raisins (2)

Dans votre antre, j'ai jouée avec ce grain de luxure. Je l'ai roulé contre vos lèvres ourlées, je l'ai poussé pour ouvrir un chemin plus profond, je l'ai accompagné de deux doigts entreprenants, le poussant ça et là au fond de votre chatte incandescente.

J'ai vainement essayé de le faire éclater contre toutes les parois, vous projetant par la même occasion d'un nuage à l'autre d'un septième ciel sans retour. Souvent, le gredin m’échappait et je ne pouvais plus le saisir avant qu'il ne revienne par lui même, expulsé des antres profondes par je ne sais quel spasme de plaisir. En le laissant revenir vers moi, telle une goutte de luxure qui perlerait de vos lèvres, je l'ai pincé entre deux doigts, et j'ai enfin eu sa peau ... et vous son suc.

J'ai lapé tout ce que votre corps me livrait de pulpe et de jus en vous mangeant le triangle d'or, en vous dégustant la chatte ... ouverte, lèvres écartés de mes mains complices, jusqu'à la dernière goutte de ce essence de l'union avec Dionysos, sur mes lèvres, sur ma langue ... vous étiez sucrée comme jamais.

Ce premier grain avait tellement joué les fripons que les suivants ont eu droit à quelques préparation avant de connaître leur destin de luxure. D'un coup de dent assuré, je leur ai arraché un bout de peau pour fendre ce globe trop ferme pour livrer sans peine sa pulpe à vos entrailles. Je me souviens avoir déposé la premier du bout des lèvres, le suivant de la pulpe du pouce, et d'avoir même tenté d'en glisser deux ou trois à la fois ... votre chatte était pleine d'une demi grappe quand j'ai apposé mes lèvres pour me délecter du suc qui suintait. Vous dégouliniez de jus de raisin, ces grains, même froids, avaient embrasé votre bas ventre ... je sentais votre corps battre en convulsions de plaisir dont je n'étais plus le seul chef d'orchestre. Les grains se pressaient entre eux et vos cris étouffés n'était que les prémices d'un plaisir comme libéré comme une lame de fond. Vous avez joui de ce plaisir puissant qui déchire le silence, la moitié des grains ont succombé à votre étreinte intime, votre corps, tendu comme un arc, votre chatte pleine comme une outre, et mes lèvres pour saisir ce jus orgiaque ... vous ruisseliez littéralement de plaisir et j'en dégustais chaque goutte
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